Nielíqui
| Race | Ainur |
|---|---|
| Groupe | Valar |
| Autres noms | Nieliqi, Nielikkilis, Nielikki, Nyelikki |
| Significations | Nielikkilis « (douce) petite Niéle1) » (quenya) |
| Parents | Oromë et Vána |
| Références | Le Livre des Contes perdus, Les Monstres et les critiques et autres essais, Parma Eldalamberon, Vinyar Tengwar |
« …lorsqu’[Amillo] ne chantait pas accompagnant la harpe de son frère, alors le trouvait-on à faire des trilles dans les jardins d'Oromë lorsque, après un temps, Nielíqui, petite demoiselle, dansa dans ses bois. » Le Livre des Contes Perdus I - III. La Venue des Valar et la Construction de Valinor.
éesse mineure, Nielíqui est une jeune vierge qui aime à danser au printemps2) sur la voix d’Amillo dans les jardins d’Oromë3), son père qui l’a eue de sa femme Vána4). Enfant des Valar5) et associée au renouveau de la belle saison, des perce-neiges jaillissent de ses larmes tombées au sol et des jonquilles fleurissent à ses pieds lorsqu’elle se met à rire6).
| Cet article est principalement basé sur des informations issues des Contes Perdus, les textes les plus anciens de Tolkien concernant Arda. Les informations de cette page peuvent donc entrer en contradiction avec celles que donne Le Silmarillion. |
Histoire externe
n 1921, J. R. R. Tolkien lui a dédié7) un poème intitulé Nieninqe dans lequel elle ouvre une procession d'Elfes, accompagnée par des esprits des bois (Oromandi) et des fées des écumes (Wingildi)8). Elle y est comparée à un perce-neige qui s’épanouit sous une douce brise9). Il est surprenant de noter qu’il existe une version tardive de ce poème Nieninque, postérieure à 1951, qui fait toujours apparaître Nielíqui, vraisemblablement devenue une Maia, alors que celle-ci ne semblait guère avoir longtemps survécu au stade du Livre des Contes Perdus10).
