« Et comme Turambar se carrait dans la fourche de ses branches, les parties médianes du Dragon vinrent se placer juste au-dessus de lui, et ballottées par leur grand poids, lui effleurèrent presque la tête avant que Glaurung ait réussi à les relever. C’était une panse toute blême et ridée, d’où suintait une humeur visqueuse et grise et à laquelle adhéraient toutes sortes d’immondices ; et elle puait la mort. » Les Enfants de Húrin
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