Table des matières

Appendice : Lexique adûnaïque

Quatre Anneaux
Helge Kåre Fauskanger — 1997
traduit de l’anglais par Romain Paulino
Article de synthèseArticles de synthèse : Ces articles permettent d’avoir une vue d’ensemble du thème traité mais ils nécessitent une bonne connaissance des principales œuvres de J.R.R Tolkien.

Dans certains cas nous ne disposons pas de traduction, Tolkien / Lowdham mentionnant seulement la forme d’un mot pour illustrer un point de phonologie ou de dérivation, sans l’expliciter plus avant. Les voyelles longues sont notées par des circonflexes ; la source principale (le Lowdham’s Report) utilise des macrons à la place, mais les circonflexes sont utilisés dans les textes narratifs. Sauf mention contraire, la pagination renvoie à SD. Les digrammes th, ph et kh représentent des spirantes (th comme dans l’angl. think, ph = f et kh = ach-Laut allemand), tandis que tth, kkh sont des aspirées (t + th, k + kh) ; pph, dont nous n’avons pas d’exemple, est de la même façon p + f (voir SD, p. 419). Les « bases » sont en majuscules. Les premières formes des « fragments » de Lowdham (SD, p. 311—312), rendues obsolètes par les révisions de Tolkien, ne sont pas données. Il en va de même pour quelques autres formes et noms qui ne semble pas avoir été valides au moment où Tolkien abandonna l’adûnaïque. Quelques formes obsolètes sont mentionnées sous l’entrée de la forme qui les a remplacées par la suite, mais ne possèdent pas d’entrée spécifique. Pour les noms des Rois númenóriens, la pagination se réfère aux CLI plutôt qu’à l’Appendice A du SdA, puisque la plupart des copies des CLI possèdent une pagination uniforme.

Note de l’éditeur : Vous trouverez, en rouge, quelques références ainsi que quelques entrées importantes, principalement issues du Parma Eldalamberon nº 17 paru en 2007, qui n'apparaissaient pas dans l'article original et qui ont été rajoutées par souci d’exhaustivité.

A

B

D

E

G

H

I

K

L

M

N

O

P

R

S

T

U

Y

Z

Voir aussi

Sur Tolkiendil

Sur le net

1) N.d.É. : ou plutôt « Pays de Manwë », ce dernier s’appelant Amân en adûnaïque.
2) N.d.É. : l’auteur avait ici donné Elentári comme équivalent quenya, ce qui était erroné, puisque ce titre signifie « Reine des Étoiles ».
3) N.d.É. : lit. « Faiseur-de-navires » en anglais
4) N.d.É. : ou peut-être « Pays de Manwë », voir l’entrée an.