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A

Joe Abercrombie

Interview pour SFFWorld, 2006

Q: « Cela fait-il longtemps que vous vous intéressez à la Fantasy ? Qu’est-ce que (ou qui est-ce) que vous connaissez ? Quelles sont vos influences ? »

R: « Enfant, j’étais très fan de fantasy, je jouais à beaucoup de RPG de fantasy et certaines de mes idées remontent à ce temps-là. Pourtant, je ne suis vraiment pas très instruit dans ce genre, surtout sur la période récente, et je me sens souvent un peu idiot quand je discute avec des éditeurs, des critiques et des auteurs plus connus (à peu près tous). Le Seigneur des Anneaux de Tolkien (bien sûr), Le Sorcier de Terremer d’Ursula le Guin, Corum de Moorcock et le Trône de fer de Martin ont été les quatre séries de fantasy qui m’ont le plus marquées, et je dois accorder une mention spéciale à une série de suppléments de RPJ, nommée The Enemy Within de Carl Sargent, que j'ai trouvé brillante. Mais je dirais que le gros de mes influences est extérieure au genre. – Je crois que la fantasy, surtout celle des séries épiques, se nourrit parfois un peu trop d’elle-même. »

Q: « Pourriez-vous clarifier votre opinion [sur ce dernier point]? »

R: « Bien qu’il y ait probablement beaucoup de fantasy très originale que je n’ai pas lu, j’ai le sentiment que quelques auteurs cherchent à surpasser Tolkien, si vous voulez, en rivalisant sans fin pour être plus détaillés, plus complexes et plus longs. ‘La construction de monde’, une expression qui n’a pratiquement aucun usage en dehors de la fantasy, semble être devenue un but en elle-même, presque plus célébrée que la narration, comme si les lieux de tournage d'un film étaient plus importants que le scénario, le jeu d'acteurs et la réalisation réunis. »

Q: « 'Votre opinion’ explique-t-elle pourquoi votre livre ne contient pas beaucoup des symboles habituels de la fantasy ? Pas d’elfes, par exemple ? »

R: « C’est vrai – ni d’elfes, ni nains, ni dragons ; puisque je sens que l’humanité peut vous donner toute l’ampleur dont vous aurez jamais besoin – mais il semble tout de même que je me sois débrouillé pour incorporer quelques clichés de fantasy : un magicien mystérieux avec un apprenti incompétent, une tour sinistre remplie d’anciens artefacts de pourvoir indicible, une civilisation corrompue et décadente assaillie par des ennemis barbares… Un pur ersatz de Tolkien ! Je crois que l’idée n’était en aucun cas de briser le moule, mais juste d’y ajouter quelque chose de légèrement différent… »

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Daniel Abraham

Interview pour SFFWorld, 2007

Q: « Honnêtement, est-ce que vous pensez que le genre fantasy sera un jour reconnu comme de la vraie littérature ? A dire vrai, je pense qu'il n'y a jamais eu autant de bon livres et séries que ce que nous avons actuellement et pourtant, il y a toujours aussi peu de respect (pour ne pas dire aucun respect) pour ce genre. »

R: « Pas de notre génération. Mais cela a toujours été comme cela. Les romans policiers purs et durs étaient de la merde et maintenant Dashiell Hammet et Raymond Chandler sont enseignés dans le supérieur. La science-fiction y fait aussi son bout de chemin — Ursula Le Guin et maintenant Philip K. Dick. Tolkien rôde toujours autour des départements d'anglais avec un plaisir coupable. Mais laissez-moi vous demander ceci : que ferions-nous de ce respect ? Ferait-il de nous de meilleurs écrivains ? De meilleurs lecteurs ? Ajouterait-il une touche de plaisir à une bonne histoire, bien écrite ? J'ai connu des gens qui voulaient à tout prix créer de la Vraie Littérature, en lettres capitales et tout. Beaucoup d'entre eux étaient des connards prétentieux tellement occupés à être des auteurs qu'ils étaient incapables de raconter une histoire. »

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Mark Anthony

Interview pour SFF World, 2000

Q: "Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire de la fantasy au début ?"

R: "Je crois que j’ai gravité vers la fantasy simplement parce que j’ai beaucoup aimé en lire en grandissant. Et je dois cela à mes deux sœurs ainées qui aimaient lire de la science-fiction et de la fantasy et qui m'ont mis toutes sortes de livres merveilleux – livres de Tolkien, McCaffrey, LeGuin – entre les mains."

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Sarah Ash

Interview par Owen Jones, pour SFF World, 2006

Q: « Est-ce difficile d’être une femme écrivain dans un genre traditionnellement masculin ? »

R: « Je suppose que cela ressemble à un genre traditionnellement masculin si quelqu’un cite J. R. R. Tolkien, C. S. Lewis, David Eddings, Robert Jordan, Terry Pratchett et George R.R. Martin, de même que les auteurs les plus vendeurs de ce domaine depuis les cinquante dernières années. Mais il n’est pas si difficile à présent de contrer ces noms par ceux de Ursula LeGuin, Andre Norton, Anne McCaffrey, Robin Hobb, J.K. Rowling, Susannah Clarke…Je pense que depuis quelques temps, c'est un terrain de jeu assez égalitaire, tant pour les lecteurs que pour les auteurs. La fantasy ces jours-ci est une vaste doctrine (comme tous les auteurs impliqués dans The Write Fantasy sont prompts à le rappeler !) avec un tel nombre d’approches, de styles et de thèmes différents que chaque lecteur peut trouver sur les étagères quelque chose qui convient à son goût. A moins bien sûr que vous ne suggériez que l’aspect ‘traditionnellement masculin’ du genre soit lié au fait que les guerres, batailles et combats aient un rôle majeur dans l’heroic fantasy ou la fantasy épique. Peut-on affirmer que les auteurs féminins apportent une sensibilité différente au traitement des scènes de batailles ? En pensant à Mary Gentle et Steph Swainton (que j’ai à l’esprit), je ne vois pas d’indisposition ou de manque de rigueur dans leurs romans. »

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Isaac Asimov

Interview par Slawek Wojtowicz, 1988

Q: « Vous aimez la fantasy ? Les histoires de Tolkien ? »

R: « J’aime Tolkien lui-même – Je l’ai lu cinq fois. Honnêtement, je ne lis pas trop ces jours-ci. Quand on écrit autant que je le fais, on n’a pas le temps de lire. Bizarrement, quand je lis, je me tourne vers les romans policiers ; je cherche des romans policiers à l'ancienne. Je suis une personne très vieux jeu. »

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B

R. Scott Bakker

Interview pour SFFWorld, 2004

Q: « Les cultures que vous présentez dans la saga ont, jusqu'à maintenant, fortement l'air familière. Quelles cultures et quels peuples vous êtes vous basés pour créer le peuple de ce monde ? »

« L'analogie que j'aime toujours utiliser quand je parle de la création de monde est celle de la sculpture : quand vous bâtissez un monde, ce que vous faîtes à mon sens, c'est prendre toute une vie de souvenirs culturels et historiques communs et les sculpter en différentes formes. Quand vous écrivez une fiction contemporaine et que vous écrivez tout simplement 'New York', toutes les associations d'idées sont déjà là. Mais quand vous écrivez 'Carythysal' ou 'Nenciphon', les mots n'ont pas de sens. L'auteur de fantasy a des travaux les plus difficiles de la fiction : il ou elle doit rendre significatif ce qui n'a pas de signification - en ce qui me concerne, plus c'est authentique, mieux c'est. Il s'agit d'une de ces choses, je pense, qui fait que Tolkien est un tel génie. Certains auteurs de fantasy, Guy Kay en particulier me vient à l'esprit, s'emparent de choses "toutes faites" au sein de ce gisement d'associations d'idées partagées. L'avantage est que beaucoup du travail a déjà été fait : une fois que le lecteur réalise que Sarantium est une Constantinople alternative, les images qui lui sont associées deviennent claires et immédiates. D'autres creusent ce gisement de manière plus éclectique, plus fragmentaire ou plus mystérieuse - là, le travail peut être plus difficile puisque rien n'arrive déjà pré-construit. J'ai suivi une approche intermédiaire, puisque que mon intérêt réside dans l'exploration et le prolongement des conventions de la fantasy épique tolkiennienne, en utilisant des parallèles fragmentaires mais extensibles se basant sur la Méditerranée hellénistique [...]. Une des leçons que j'ai apprises de Tolkien est ce que j'appelle la 'transcendance narrative', qui si elle devait se définir comme une règle donnerait quelque chose comme : Dans une épopée de fantasy, le monde doit transcender l'histoire; il doit comme notre propre monde, ressembler à un lieu capable de supporter un nombre innombrable d'histoires. Pour moi, cela signifiait la création d'un monde détaillé. La réalité après tout est fonction du détail. Mais Tolkien nous offre une leçon en narration d'histoire qui complète celle de la création de monde : qu'importe à quel point le monde est détaillé, il faut garder l'histoire simple, stupide, au moins au début. Donner au lecteur un chemin dégagé.»

Q: « Quels sont les auteurs ou ouvrages de Fantasy & Science Fiction ou autre qui vous ont influencé alors que vous grandissiez et découvriez votre propre style ? »

« En premier lieu et avant tout, Tolkien. [...]»

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Interview pour SFFWorld, 2008

« En fait, l'essence même de ce que les créateurs d'univers explore est le pouvoir identique des mots à tisser des réalités, un pouvoir qui s'intensifie quand l'écrivain approche le monde et l'histoire comme des travaux séparés - quand l'écrivain est aussi un constructeur de monde. Personnellement, je pense que c'est l'une des clefs à la magie insaisissable de Tolkien : imaginez Le Seigneur des Anneaux sans une Terre du Milieu construite séparément ! Et je pense que la création d'univers épique, parce qu'il entre en résonance avec un vaste échantillon des lecteurs, offre une puissante occasion de communiquer, une de celles que les auteurs à "l'esprit littéraire" sont moins susceptibles d'exploiter en raison de leurs "qualités littéraires" incroyablement limitées, à l'image de celles embrassées ci et là par Harrison. »

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James Barclay

Interview pour SFFWorld, 2008

Q: « [...] Il existe un grand nombre d'ouvrages qui devraient être lus par une plus vaste audience qu'actuellement. C'est frustrant. La SF et la fantasy sont largement développées à la télévision mais trop de téléspectateurs cracheraient sur les livres qui ont donné naissance à la télévision qu'ils aiment tellement. Vous entendrez dire que 'quiconque aime les livres avec des elfes et de la magie est un nerd' et pourtant, les mêmes personnes auront lu et adoré Tolkien 'parce que c'est un classique'. »

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David Bilsborough

Interview pour SFFWorld, 2007

Q : « Quel fut l'élément déclencheur qui vous a donné l'idée d'écrire Les Chroniques du Lindormyn ? »

« Désolé d'être si peu original mais ce doit être Tolkien. A l'âge de 15 ans, j'écrivais juste ma propre version du Sda (comme le fait quelqu'un de cet âge) mais eut l'idée de l'écrire dans le style adopté par Chaucer dans le Prologue des Contes de Cantorbéry, que nous étudions à ce moment-là. J'ai combiné cela à une idée pas vraiment sérieuse dont mes amis nerds et moi avions parlé toute l'année, celle d'aller à notre vraie quête D&D à Cheddar Gorge avec des pseudonymes, des armures et des vélos à la place des chevaux. (Oh Seigneur, est-ce que je suis vraiment en train de vous raconter ça ?) Sept ans plus tard, cela s'était transformé en un poème épique de 375 pages, tout en vers, et formait les foutaises les moins originales possibles. »

Q: « Quels auteurs admirez-vous ? Beaucoup d'auteur de fantasy ne lisent pas beaucoup au sein du genre. Est-ce votre cas ? »

« Il n'y a que deux auteurs qui m'aient vraiment inspiré : Richard Adams et, bien sûr, Tolkien. J. R. R. en particulier écrivait avec une beauté tellement immatérielle et poétique que je ne pense pas imaginer un autre auteur se rapprochait même un peu de lui. (Il était aussi un fréquent promeneur des Malvern Hills.) En dehors de cela, je ne peux penser qu'à deux autres auteurs. Le bilan concis de la condition humaine par Graham Greene, dans toute sa stupidité, son besoin d'auto-destruction et les nuances changeantes du mal, sont des thèmes auxquels je tente de réfléchir dans ma propre écriture. Et Michael Frayn pour la finesse de son intelligence. Donc malheureusement, je ne lis que très peu de fiction maintenant. Non parce que je n'aime pas cela mais tout simplement parce que 90% de cette fiction est tellement décevante — non inspirée, prédictible, cliché et principalement écrit pour l'argent, c'est-à-dire tout ce que l'écriture de Tolkien n'est pas. Comme lui, j'enseigne pour vivre et j'écrire pour l'amour de l'écriture. Je n'écris que lorsque je suis inspiré ou au moins enthousiaste; je ne presserai pas, ni ne me compromettrai, ni n'écrirai pour pour une audience ciblée. Beaucoup de gens dans le monde de l'édition sont d'accord pour dire qu'il y a bien trop de livres écrits à l'heure actuelle et que c'est peut-être pour cela. J'ai l'impression que même les auteurs de bestsellers les plus loués écrivent comme s'ils avaient en tête un contrat pour un film hollywoodien insipide. »

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Kristen Britain

Interview pour SFFWorld, 2000

Q: "Quelles ont été vos principales sources d’inspiration et comment ont-elles influencé vos récits ?"
R: "J.R.R.Tolkien, Anne McCaffrey, et Lloyd Alexander ont été mes premières influences en fantasy. Mais j’ai lu, et je lis toujours, une variété d’auteurs et de titres (selon le temps dont je dispose) dans et en dehors de ce genre. D’une manière ou d’une autre tout ce que je lis m’inspire et, puisque j’ai écrit un livre moi-même, je suis plus critique quant à ce que je lis. Mon autre source d’inspiration est le monde naturel ce qui, je crois, est évident dans le décor du CAVALIER VERT. J’ai trouvé des solutions à beaucoup de problèmes de décor quand j’étais en train de grimper, marcher, et faire du vélo dans les forêts et les montagnes, ou quand j’étais assise au bord de la mer. Je crois que passer du temps en plein air affecte beaucoup cet espace de créativité dans mon subconscient."

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C

Orson Scott Card

Interview pour SFFWorld, 2004

Q: « Quel est votre personnage (de roman) préféré ? »
« Samsagace Gamegie. »

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CARD, Orson Scott, Comment écrire de la fantasy et de la science-fiction, Bragelonne, 2006

« Vous remarquez que Tolkien ne commence pas par un prologue relatant l'histoire de la Terre du Milieu jusqu'au point où Gandalf révèle à Frodo la nature de l'anneau. […] En d'autres termes, c'est la personne de point de vue, et non le narrateur, qui nous guide dans la situation mondiale. […] Trop d'auteurs d'histoires événementielles, surtout les épopées de fantasy, ne tirent pas cette leçon de Tolkien. Ils imaginent que leur pauvre lecteur sera incapable de comprendre ce qui se passe s'ils ne commencent pas par un prologue leur détaillant la `situation mondiale’. »

Autre

« Mon chef d'oeuvre de fiction préféré : Le Seigneur des Anneaux. Mon chef d'oeuvre non fictionnel préféré : De l'inégalité parmi les sociétés. Reposez-moi la question la semaine prochaine, vous aurez une réponse différente. »

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Source: site de Tolkien Library

David B. Coe

Interview pour SFFWorld, 2005

Q: « Quels sont les auteurs à avoir eu la plus grande influence sur vous ? »

R: « Eh bien, Tolkien évidemment. J’ai découvert Le Hobbit pour la première fois alors que j’étais enfant, dans une colonie de vacances où j’ai joué Bilbo Sacquet dans une adaptation théâtrale du livre. J’ai lu le livre quelques années plus tard et je l’ai adoré, passant directement au Seigneur des Anneaux. Et à la lecture du Seigneur des Anneaux, j’ai décidé que je voulais plus lire autre chose que de la fantasy. (Ne craignez rien : j’ai lu d’autres choses depuis.) L’idée de bâtir son monde en partant de rien, de créer un lieu où la magie était une composante plus essentielle que les arbres ou l’herbe, m’a captivé. Quelques années plus tard, j’ai lu les séries Thomas Covenant de Stephen R. Donaldson, les deux, très vite à l’une après l’autre. Et le fait de lire Donaldson m’a convaincu que je ne souhaitais pas seulement lire cela, mais que je voulais aussi l’écrire, créer quelque chose de fascinant et d’étrange (dans le bon sens du terme), de sombre et d’intriguant comme ce qu’il avait créé dans ses livres. Il y a de nombreux auteurs que je lis et que j’admire à présent, mais l’autre auteur qui m’a probablement influencé le plus est Guy Gavriel Kay. Ses mondes sont tellement réels, joliment construits, détaillés avec amour ; ses personnages sont pleinement aboutis ; sa prose est riche et puissance. C’est un vrai maître conteur et c’est ce que je m’efforce d’être, ce que j’espère devenir un jour. »

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Glen Cook

Interview pour The Green Man Review, 2005

Q: « Qui reconnaitriez-vous comme une de vos influences ?»

R: « Fritz Leiber. Jack Vance. Hammett. Chandler. Stout. Howard et Tolkien, je suppose, bien que vraiment inconsciemment. »

Q: « Je peux tous les déceler sauf Tolkien. Qu’avez-vous retiré de son travail ?»

R: « Je dirais, la profondeur des personnages et le cadre. »

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Interview pour Malazaempire.com, 2006

Q: « Qui/Qu’est-ce qui a le plus influencé votre écriture et vous a fait commencer?»

R: « Au début, mes héros étaient Tolkien, Vance, Fritz Leiber, E.R. Eddison. Cela s’est à moitié transformé en passion pour certains écrivains américains, auteurs d’histoires de détectives privés. A un certain point, j’ai découvert que je ne pouvais être aucun de ces types. Mais j’aimerais toujours écrire un roman à la Jack Vance. »

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tolkien/ils_en_ont_parle/abc.txt · Dernière modification: 06/04/2020 18:47 (modification externe)
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